17 août 2013
"Adieu poèsie"
Mes pleurs sont à moi, nuls au monde Ne les a comptés ni reçus, Pas un œil étranger qui sonde Les désespoirs que j’ai conçus L’être qui souffre est un mystère Parmi ses frères ici-bas ; Il faut qu’il aille solitaire S’asseoir aux portes du trépas. J’irai...