"Pardonne-moi mon amie"

Une nuit, une caresse,

Les promesses de l’aube sont comme fête,

Pour faire renaître l’espoir du poète,

Disparu un moment au fond des abîmes,

Pour un jour d’amour, une nuit de folie,

Pardonne-moi mon amie,

De temps de paroles insoumises,

Mes sentiments sont trop pressants,

A cet instant où je suis vivant,

Mais mort de l’intérieur,

Si violente est ma détresse,

Que je ne puis me contrôler,

Derniers mots avant ma chute.

© Copyright 2013 A. KESSLER